Tu as sans doute vu des dizaines de conseils sur YouTube ou acheté des méthodes pour apprendre à improviser, où on te dit qu’il te « suffit » de travailler des gammes dans tous les sens, de connaître tous tes accords par cœur ou de travailler des plans pour les replacer dans tes solos, avec des exemples d’avalanches de notes… Ou alors, tu as l’impression de trouver de tout et de rien, avec des types qui t’impressionnent sans jamais t’expliquer comment mettre tout ça en pratique… Bref, beaucoup de temps perdu, car à chaque fois, des techniques et des méthodes incomplètes, trop rapides, trop compliquées ! Avec un résultat souvent miteux.
Attention : ces méthodes ne sont pas inefficaces !
Seulement, soyons réalistes : non seulement cela ne donne pas envie de faire pareil, mais de plus, elles ne s’adressent pas aux débutants.
En effet, pour savoir comment intégrer de nouvelles gammes dans ses solos, il faut déjà avoir la possibilité de jouer de jolies mélodies, spontanément. Quand on a déjà un discours musical fluide et un style bien à soi, il est intéressant de travailler d’autres sonorités pour enrichir son jeu et le rendre encore plus original. Mais quand on débute, quand on part de zéro, on n’intègre rien nulle part, on se retrouve juste avec un vocabulaire immense, sans avoir compris la grammaire et syntaxe d’un solo (j’entends pas « solo » une section du morceau pendant laquelle on improvise).
Bref, si tu débutes et que tu commences par ces méthodes, c’est le meilleur moyen pour toi de t’épuiser, de te décourager, de procrastiner, d’abandonner et au final, de te sentir frustré de n’obtenir aucun résultat.
Tu sais, je te comprends bien.
Car moi aussi, j’ai beaucoup galéré, au début !
Recherche d’une méthode efficace pour improviser
L’histoire que je vais te raconter est un peu longue, mais elle va te permettre de comprendre par quelles étapes je suis passé et comment j’ai découvert la meilleure méthode pour improviser efficacement quand on débute.
Mes débuts au piano
J’avais un professeur de piano qui me disait : « Allez, improvise, trouve des idées ! » Comme si ça allait sortir tout seul. Surtout au piano, quand il faut jouer la basse, les accords et improviser des mélodies en même temps. C’était la panique. Je me rappelle que mon tout premier morceau de jazz au piano était All Of Me. Je le connaissais par cœur, mais quand il a fallu que j’improvise, j’étais tellement stressé, que j’ai juste sorti une note ! Mon prof s’est mis en colère et moi, j’avais honte de n’avoir rien pu sortir. Vachement motivant, comme apprentissage.
Des années plus tard, j’avais rejoint un groupe de jazz amateur. La première année, je ne voulais pas jouer en solo, parce que j’avais peur d’être ridicule, mais je me suis lancé l’année suivante. Sauf que mes solos ne ressemblaient à rien. Alors, le chef d’orchestre m’a conseillé d’apprendre mes gammes. Sans me dire comment les utiliser, comment en faire de jolies mélodies. Alors, j’ai acheté une méthode de celles citées plus haut et j’ai bossé mes gammes, 2 heures par jour, pendant 2 ans.
Entre-temps, le chef d’orchestre avait été remplacé, car il avait déménagé. Mais il nous a fait l’honneur de venir nous voir en concert, 2 ans plus tard. A la fin du show, il me fait signe de le rejoindre et me dit : « Félicitations, Bertrand, tu as bien progressé, on sent que tu as bien bossé, mais tes solos, ça ne va pas du tout : on dirait des bouts de gammes ». Tu m’étonnes ! Je n’avais travaillé que ça pendant 2 ans ! Là, j’étais vraiment furax !
LA rencontre dans un club de jazz
Des années plus tard, j’ai appris à jouer de l’harmonica, en cours collectifs. Là encore, notre prof nous demandait d’improviser spontanément, sans nous dire comment ça fonctionnait. Alors, nous cherchions des méthodes à droite, à gauche, pour essayer d’y piocher des infos, des astuces. Certains écrivaient des solos en recopiant en s’inspirant de ce qui avait été fait et les apprenaient par cœur, pour ne pas perdre pied, quand ils les joueraient sur scène, à la fin du stage. Mais ce n’était pas de l’improvisation.
Un soir, je suis allé dans un club de jazz, assister à un super concert. A la fin du concert, nous sommes allés au bar mais nous ne sommes pas sortis de la salle, car en seconde partie de soirée, nous avions la possibilité de monter sur scène avec les musiciens professionnels et de jouer avec eux. On appelle ça une jam session : chaque instrumentiste improvise, sur la base d’un morceau qu’on joue d’abord tous ensemble.
Ce soir-là, j’avais mon harmonica en poche et je croise un ami saxophoniste :
« Salut ! Tu vas bien ? Je ne vois pas ton sax ténor, tu ne l’as pas oublié, au moins ? »
« Mon sax ? Pourquoi l’aurais-je pris ? »
« Bah, pour jouer un peu avec les pros, ça fait 2 ans que tu me dis que tu apprends l’impro avec un super prof. »
« Ah non, je n’en suis pas là : pour l’instant, je travaille mes gammes. »
A ce moment-là, l’un des musiciens, qui était descendu de scène et avait rejoint le bar, surprenant notre conversation, nous lance :
« Travailler des gammes ? Mais non, ça ne marche pas comme ça, l’improvisation ! »
Mon pote était agacé :
« Non, mais pour qui il se prend, celui-là, de nous mépriser ? Tu m’étonnes, qu’il a dû en bouffer aussi, des gammes ! »
« Tu crois ? Je ne l’ai pas senti comme ça. Si ça se trouve, on fait fausse route. Si ça se trouve, c’est beaucoup plus simple que ce qu’on croit. »
« Bah, tu rigoles ? Tout le monde fait ça depuis des décennies ! La méthode que mon prof utilise, elle date des années 60 alors, si on savait faire autrement, depuis le temps, ça se saurait ! »
« SI ça se trouve, ça fait des décennies que les apprentis musicos se prennent la tête avec des méthodes qui ne sont pas adaptées pour eux ».
Bon, à ce stade, tu imagines sans doute que j’ai demandé au musicien pro ses secrets pour improviser.
Eh bien, non ! Je n’en ai rien fait. A cette époque, j’étais affreusement timide et trop impressionné par la stature du musicien pour oser lui poser des questions de ce genre. Peur de le déranger, de passer pour un nul, ce genre de choses.
Comment j’ai découvert la méthode du Cheminement Mélodique
Bien des années plus tard, je suis allé à un concert de musique baroque.
C’était un concert fabuleux, plein de vie. On lisait la joie de vivre sur leur visage. Il y avait un homme au clavecin, une femme à la viole de gambe, un homme à l’archiluth et un homme au violon.
A la fin du concert, je suis allé rencontrer les artistes pour les féliciter et papoter avec eux. J’étais déjà beaucoup moins timide. Et plus sûr de moi.
Ils étaient en train de boire un verre bien mérité. Leurs partitions étaient encore sur les pupitres. Et là, par curiosité, j’ai louché sur la partoche du violoniste. Quelle ne fut pas ma surprise, quand j’aperçus…
Bon, il faut que je te fasse juste un petit cours de rythme. Tout petit. Vu que, toi qui me lis, je ne connais pas ton niveau musical, je préfère être sûr d’être compris. Si tu connais ça par cœur, tu peux sauter ce paragraphe.
Petit cours sur les rythmes (rappel ou découverte, en fonction de ton niveau)
Il existe des rythmes qui durent le temps d’une pulsation. Pour résumer, disons que, quand tu joues une note sur une pulsation, tu joues une noire. La noire est une figue rythmique qui dure 1 temps, c’est comme ça qu’on dit. Si la note dure 2 temps, c’est une blanche. Si elle dure 4 temps, c’est une ronde.
Maintenant, la note peut durer moins d’un temps.
Si elle dure un demi-temps, c’est une croche. Et si elle dure un quart de temps, c’est une double-croche.
Bon.
Revenons à mon anecdote.
Découverte du Cheminement Mélodique – 2ème épisode
Je louche donc sur la partition du violoniste et je ne vois que des rondes et des blanches, alors qu’il avait aligné des croches et des doubles-croches sur tous les morceaux. Et là, je me suis dit :
« Bon sang, mais ce type improvise tout le temps ou quoi ? »
Il m’a confirmé qu’effectivement, la musique baroque est une musique où l’on improvise beaucoup. Même le claveciniste improvisait son accompagnement, en s’aidant de quelques indications sur sa partition.
Alors, quel est le truc ?
Et en fait, le truc, c’est que des notes sont indiquées sur la partition du soliste, pour lui donner des points de repère. Et le soliste joue des phrases entre les notes !
Cette info a été une révélation, pour moi.
Il me restait à savoir comment est-ce que l’on chemine entre les notes. J’aurais bien voulu qu’il m’explique, mais le groupe devait faire fissa, car ils enchaînaient avec un autre concert, dans une autre église.
Découverte du Cheminement Mélodique – 3ème épisode (le suspense est à son comble)
Le lendemain du concert, j’ai commencé à faire des recherches. En me rendant dans des bibliothèques et des libraires musicales.
A force de chercher, j’ai déniché une méthode très ancienne, destinée aux flûtistes qui jouent de la musique des XVIème et XVIIème siècles. Que j’ai bien sûr adaptée aux musiques actuelles. Et puis, j’y ai ajouté des éléments que j’avais appris dans mes études de composition. Car oui, cela fait plus de 20 ans que je compose de la musique.
Au final, cela donne une méthode révolutionnaire, que j’appelle Cheminement Mélodique. C’est celle que j’utilise le plus, quand je veux sortir des solos. Pourquoi ? Parce que cela permet d’avoir un discours musical varié, agréable à jouer et à écouter pour ton auditoire.
En voici un exemple, avec un solo que je joue sur La Chansonnette d’Yves Montand : je joue d’abord la mélodie de la chanson, puis je te montre la partition de mon solo, pour que tu voies les notes que je joue mais, bien sûr, le solo a été improvisé et j’ai transcrit la partition ensuite d’oreille (ce que tu n’auras pas besoin de faire) :
Ce que les recueils de gammes et les grands solistes sur YouTube ne te disent pas
Soit les grands professionnels gardent leurs secrets pour eux, soit ils ont oublié comment ils ont démarré. Bref, le résultat est le même : tu n’as pas accès aux infos capitales pour débuter en impro.
Sortir du son des gammes
Le problème, avec les méthodes qui te font travailler des gammes en montant et en descendant, c’est que tu ne sors jamais du son de la gamme. Tout ce que tu joues ensuite ressemble à des exercices. Je ne dis pas qu’il ne faut pas connaître de gamme du tout, mais il vaut mieux bien savoir se servir d’une seule gamme et de faire de jolies mélodies avec, que d’en travailler plein et de les enchaîner, sans que l’ensemble donne quelque chose de cohérent.
Seuls les acharnés y parviennent, parce qu’ils travaillent en plus des solos des grands improvisateurs, pour leur donner du vocabulaire. Et ils apprennent aussi plein de morceaux par cœur. Je sais que les étudiants de certaines écoles de jazz aux Etats-Unis, comme celle de Berklee College of Music, sont capables, à la fin de leurs études, de jouer 500 morceaux par cœur.
Mais c’est un travail colossal. La grande majorité s’épuise et se décourage.
Par quel bout prendre les choses ?
Ce qu’on ne t’explique pas non plus, dans ces recueils, c’est comment commencer une improvisation.
Et une fois qu’on l’a commencée, qu’est-ce qu’on joue ensuite ?
Sur quelle base ?
On se sert de quoi ?
L’auteur du recueil ne te le dit pas. Rien. Le néant total.
De quoi as-tu besoin ?
Ce qu’il te faut, c’est un système structuré qui t’explique, étape par étape, comment utiliser une seule gamme pour obtenir un vrai discours musical, digne des professionnels. Un discours qui a un début, des développements et une conclusion, comme lorsqu’on raconte une histoire.
Tu pourras bien sûr refaire le même travail avec d’autres gammes, mais c’est mieux de faire les choses pas-à-pas.
Et donc, un système simple, qui te permette de jouer des solos, sans passer par des milliers d’heures à apprendre des morceaux et des plans.
Je ne dis pas que ce n’est pas bien d’apprendre à jouer des morceaux et des plans, bien sûr : tant que ça reste agréable, c’est toujours bon et ça te donne du vocabulaire. Mais avec la méthode que j’enseigne, tu n’as pas besoin d’en passer par là.
Pourquoi la majorité des apprentis solistes procrastinent et au final, ne sortent rien de satisfaisant ?
Ne fais pas comme eux :
- tout d’abord, ils achètent un recueil des gammes majeures et mineures dans les 12 tonalités, alors qu’ils ne sont pas encore capables d’improviser avec une seule gamme, dans une seule tonalité. Mais comme ils sont passionnés, ils se disent qu’avec ça, ils ont tout ce qui leur faut pour savoir tout faire ;
- vu qu’ils ne s’en sortent pas, ils achètent un recueil qui leur dévoile l’utilisation de la gamme demi-diminuée, qui devrait leur permettre de sortir des solos originaux, sans avoir besoin de bosser toutes les gammes majeures et mineures dans les 12 tonalités, alors qu’ils ne savent pas encore bien se servir de la gamme de do majeur ;
- ils passent des heures à monter et descendre cette gamme sur leur instrument, mais ne trouvent pas d’application dans les morceaux ;
- alors, ils achètent un autre recueil avec des enchaînements d’accords originaux, espérant que ça va leur donner des idées ;
- mais comme rien ne sort, qu’ils ont l’impression que leur tête est vide, ça n’arrange rien ;
- de plus, ces enchaînements ne se retrouvent pratiquement jamais dans les morceaux, alors ils commencent à se demander s’ils n’ont pas encore fait fausse route ;
- alors ils apprennent par cœur des plans sans les comprendre, espérant qu’ils n’auront qu’à les replacer dans leurs solos, du genre : je joue la phrase 52, que j’enchaîne avec la phrase 38 ;
- mais comme ils ne parviennent jamais à ressortir tous ces plans, qu’ils oublient d’ailleurs, dès qu’ils en apprennent un autre, ils se disent qu’après tout, ils n’ont qu’à apprendre plein de morceaux par cœur, espérant que, de temps en temps, ils sortiront un énième morceau qui sera le leur ;
- fiers d’avoir peut-être enfin trouvé la bonne méthode, ils jouent un morceau et essayent de commencer une impro, mais se perdent dans la quantité de notes à leur disposition et ne savent plus où aller ;
- malgré des heures de travail, en écoutant des morceaux et en jouant tous les jours, ils ne trouvent pas les chemins pour improviser, car ils n’ont toujours pas d’idée ;
- le plus frustrant, c’est qu’ils ne comprennent toujours pas le process initial pour improviser ;
- quand ils improvisent, tant bien que mal, ça ne sonne pas bien ;
- ils ne savent pas comment agencer des notes consécutives pour créer un vrai discours musical ;
- s’ils ont dit à leur entourage qu’ils travaillaient l’improvisation, ils commencent à avoir peur de mal faire et d’être moqués par leur entourage ;
- enfin, après avoir changé de direction plusieurs fois, après avoir essayé des méthodes qui ne fonctionnent pas, après y avoir passé des week-ends entiers, ils abandonnent, en se disant que, décidément, l’improvisation, ce n’est pas pour eux.
Au final, des heures et des heures de travail pour un résultat inexistant et des musiciens qui finissent par ranger leur instrument dans un placard. Et je trouve ça dommage.
Comment improviser grâce au Cheminement Mélodique ?
Voici ce que je recommande vivement de faire :
- tout d’abord, pour reprendre l’idée des points de repère sur la partition du violoniste baroque, je vais t’apprendre à écrire ce que j’appelle le tracé du chemine. En gros, tu vas apprendre à « résumer le morceau » en repérant les notes les plus importantes. L’idée, c’est que, même si tu ne joues que ces notes, on va reconnaître l’ambiance du morceau. Tu verras, il y a 3 façons de le faire. Comme ça, tu pourras créer tes propres points de repère, en suivant une façon ou une autre ou en mélangeant les 3. Ainsi, 2 musiciens qui jouent le même morceau n’auront pas forcément repéré les mêmes notes. Et donc, à ce stade, tu auras déjà créé quelque chose d’original, avec une méthode simplissime ;
- ensuite, tu vas apprendre à tourner autour de ces notes-repères et à jouer quelques phrases simples entre elles. Les techniques que tu vas utiliser, je les utilise en composition. C’est ce que l’on appelle des ornementations. A ce stade, tu seras déjà en mesure de commencer à improviser, même de manière très simple ;
- nous allons ensuite aborder la gamme majeure. Pas une gamme majeure dans les 12 tonalités, UNE SEULE gamme majeure. La plus simple de toutes. Oui, la gamme de do majeur. Ne sois pas frustré que je ne te dévoile la super-gamme-mystérieuse-que-personne-ne-joue : tu vas constater, à ton grand étonnement, que tu vas pouvoir sortir de jolies phrases, qui viendront de toi, sans que ton auditoire se rende compte que tu utilises uniquement cette gamme. Bien sûr, quand tu joueras des morceaux dans d’autres tonalités, tu pourras transposer ce que tu sauras déjà faire avec la gamme de do majeur, mais pour te guider au travers de la méthode, je n’utilise que cette gamme ;
- après cela, tu vas aborder la méthode des flûtistes des XVIème et XVIIème siècles, que j’ai simplifiée et adaptée aux styles de musique actuels. Ce qui est fabuleux, c’est que c’est aussi simple que d’apprendre à compter sur ses doigts. Et je te parie que les exemples que je vais te donner t’en inspireront des dizaines d’autres. Car oui, je vais te donner des exemples, il ne s’agit pas du tout d’une formation théorique. Tu vas avoir tellement d’aisance à jouer ces mélodies, que le « travail » deviendra un terrain de jeux ;
- en fin de formation, je vais te donner des exemples d’application de tout ce que nous aurons vu, sur 3 morceaux, dans des styles différents, pour que tu apprennes comment appliquer toutes ces techniques pour que tu sois capable de jouer dans n’importe quelle circonstance par la suite.
Ce que cela t’apporte :
- tu es complètement autonome, quand tu veux improviser ;
- tu es capable de te servir de tes idées de mélodies, que tu places aussitôt dans tes solos ;
- tu as l’aisance d’improviser dans tous les styles de musique qui te plaisent ;
- tu n’as pas besoin d’apprendre des dizaines de plans par cœur ;
- tu n’as pas besoin de te farcir le crâne avec des centaines de gammes ;
- tu gagnes un temps précieux ;
- tu restes confiant dans ta progression ;
- tu t’amuses vraiment à inventer de jolies mélodies ;
- tu impressionnes ton auditoire.
Et toi ? Peux-tu bénéficier de cette méthode révolutionnaire ?
Si tu ne sais pas comment improviser ou que tu as déjà essayé, mais que ça n’a jamais rien donné de satisfaisant, je te recommande vivement de suivre la méthode du Cheminement Mélodique.
Bien sûr, à mon niveau, j’utilise d’autres astuces pour improviser et je continue d’explorer ce terrain de jeux, mais je n’en serais pas là où j’en suis, si je n’avais pas abordé l’improvisation avec cette méthode.
Sans ces techniques, je ne me sentirais pas libre aujourd’hui d’improviser dans tous les styles et d’avoir le sentiment de partir en voyage, quand je joue un morceau et que je joue un solo.
Aujourd’hui, je t’invite à faire pareil.
A toi de jouer !
Livret offert pour tout comprendre de la méthode
Si tu veux :
- enfin comprendre comment aborder l’improvisation ;
- comment travailler et avancer efficacement, simplement en suivant le modèle ;
- t’entraîner avec des exercices mélodiques et rythmiques qui vont bien avec le morceau, qui te permettent de maîtriser l’impro en un temps record ;
- vraiment pouvoir improviser en te faisant plaisir, en appliquant des techniques simples dans tes morceaux préférés ;
- être capable de jouer en accompagnement d’un morceau que tu entends à la radio ou sur une vidéo ;
- améliorer ton jeu ;
- trouver le déclic pour mettre en place ta créativité et improviser, comme si tu composais tes propres mélodies sur ton instrument ;
- t’exprimer à travers ta propre musique ;
- reproduire sur l’instrument ce que tu chantes dans la tête ;
- avoir une grande aisance en impro ;
- ne pas te cantonner à des morceaux existants, mais jouer tes propres mélodies ;
- rencontrer d’autres musiciens, avec des instruments différents et t’intégrer dans un groupe, sans avoir l’impression de ne pas suivre, d’être tout le temps à la traîne, mais au contraire être plus à l’aise et de jouer de la bonne musique ;
- apporter ta touche personnelle à un morceau que tu interprètes sur ton instrument, grâce à l’impro ;
- pouvoir jouer avec tes amis musiciens et ravir ton entourage ;
- évoluer en musique en restant motivé ;
- retrouver le plaisir de jouer de la musique ;
- te sentir fier d’être devenu un bon musicien, quel que soit ton âge ;
- avoir la joie d’improviser, ne plus douter de toi, te libérer ;
- je te recommande vivement la formation Cheminement Mélodique.
Le livret que je t'offre te permet de voir ce qu'est le Cheminement Mélodique, plus en détail.
Je t'y explique la démarche complète, pas-à-pas.
Pour chaque étape, j'y décris l'intérêt de travailler telle ou telle technique et ce que tu sauras faire, une fois que tu les auras travaillées.
C'est un livret de 7 pages, facile à lire car il ne contient pas de jargon complexe. De plus, il explique bien les différentes démarches pour apprendre à improviser.
Le monde de la musique improvisée s'ouvre à toi :
Merci beaucoup, Cojandé, de m’avoir signalé cette coquille !
Du coup, j’ai remplacé le bouton par un formulaire d’inscription qui fonctionne, lui (je viens de le vérifier).
Bonjour Bertrand,
Impossible de télécharger le livret de 7 pages. Le bouton « Clique ici » ne réagit pas.
Cojandé