La Dépêche d'HarmoChopin
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J’y présente mes meilleures méthodes pour progresser en musique et je partage aussi des astuces, des découvertes, des défis et des offres sur les formations.
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Qui est HarmoChopin ?
Je m'appelle Bertrand Carbonneaux : "HarmoChopin" est un pseudo qui date de 2004, car je jouais essentiellement de l'harmonica et du piano.
J’ai créé un peu plus de 40 formations en ligne, et j’ai déjà aidé des milliers d’élèves à se faire plaisir à l'harmonica, tous styles confondus.
Les méthodes que j’ai mises au point au fil des années sont le fruit d'expériences d'enseignement en cours particuliers, en stages collectifs et depuis la création de l'Ecole Internationale d'Harmonica le 6 septembre 2014, ce sont plus de 700 élèves qui ont appris à jouer du petit instrument. Le succès de mes élèves est ma plus grande satisfaction.
Mon approche est différente de la plupart des méthodes du commerce et des conservatoires.
Théorie d'abord, pratique ensuite : je n'y crois pas !
Engranger énormément de théorie musicale, faire du solfège pendant des mois avant de toucher l'instrument, c'est contre-productif. Enfin, ça c'est le mot à la mode. La vérité, c'est que c'est franchement casse-pied. Et encore, je suis poli.
Et comme c'est casse-pied, c'est proprement inefficace.
C'est pourquoi je ne vais pas t’apprendre à te motiver à sortir ton harmonica chaque jour.
Je ne vais pas t’apprendre à te forcer, encore moins à te faire violence pour que tu fasses 10 minutes de musique par jour.
Je ne vais pas essayer de t’imposer de faire des choses que tu n’aimes pas, parce que je sais pertinemment que l'on ne réussit jamais ce que l'on entreprend, si l'on fait les choses sous la contrainte.
On ne peut réussir que si l'on prend du plaisir à faire ce que l'on fait. Les meilleurs musiciens ont sans doute beaucoup travaillé, mais ce sont surtout des passionnés.
Quand je me lève le matin, je ne me force pas à travailler : je me lève avec l'envie de jouer de mon instrument favori, de composer un nouveau morceau ou de créer un nouveau cours de musique. Ou d'écrire ces quelques lignes, que tu es en train de lire. C'est parce que ma vie est une succession de défis quotidiens qui m'apportent de la satisfaction et de la fierté, que je progresse..
C’est la raison pour laquelle je refuse de faire ce qui ne me plaît pas, si je ne comprends pas pourquoi je le fais. Bien sûr, il m'arrive de faire des choses qui me plaisent un peu moins - comme démonter mon harmonica pour le nettoyer ou travailler une note que j'ai du mal à jouer - mais si je comprends pourquoi je fais tout ça, dans quel but et ce que ça va m'apporter, alors je suis heureux de passer par cette étape.
Je refuse toujours de m'atteler à des tâches qui m'ennuient. C'est pourquoi je fais en sorte que mes formations soient ludiques. Et aussi parce que c'est dans ma nature d'injecter une dose d'humour, dans les cours. Après tout, tu n'es pas ici pour apprendre à faire des bilans comptables, mais pour apprendre à te faire plaisir en musique.
J'ai toujours réussi là où je prenais du plaisir. Et j'ai oublié tout le reste.
Sans plaisir quotidien, je n'aurais imaginé de créer tous ces cours de musique et jamais je n'aurais monté une école de toutes pièces.
Quand je commence un nouveau projet, j’essaye de ne jamais oublier dans quel but je l'ai choisi, cela m'aide à aller au bout et garder une bonne dose de plaisir et d'envie, même quand je manque d'énergie (quand le temps est maussade, par exemple car je suis très météosensible).
En me répétant chaque jour pourquoi je fais ce que je fais, je me donne tous les moyens de réussir. Et c'est ce qui fait que mes heures de travail quotidien ne sont jamais un fardeau, mais des étapes nécessaires à la réalisation de mes rêves.
Finalement, c’est ce qui me permet de vivre une vie choisie, plutôt qu'une vie subie.
Et je vais t’apprendre à faire la même chose.
Sans y passer plusieurs heures par jour.
Juste 30 minutes, 6 jours sur 7.
Apprendre à jouer du blues en 10 minutes : je n'y crois pas !
J'ai toujours détesté ces publicités mensongères, qui essaient de te faire croire que tu peux réussir à faire des trucs extraordinaires en 10 minutes ou en 2 clics de souris. C'est toujours frustrant, quand on se laisse piéger.
Je ne vais pas t’apprendre à jouer comme Jean-Jacques Milteau en 3 jours, parce que Jean-Jacques Milteau a mis des décennies à être ce qu'il est aujourd'hui.
Bien sûr, mon rôle est de te faire gagner du temps. Même un temps considérable, car tu vas savoir faire ce que je sais faire en 10 fois moins de temps. Je veux dire que tu vas mettre 10 fois moins de temps que moi, à l'époque à laquelle j'ai appris à faire la même chose. Et c'est normal : c'est à cela que sert de suivre les conseils d'un prof.
Cela étant, même 10 fois plus vite, ça ne veut pas dire que tu vas savoir tout faire en 3 jours. Et puis d'ailleurs, on s'en moque, du temps que tu auras mis au final. Ne te prends pas la tête avec ça : réussir, ce n'est pas tout faire le plus vite possible, c'est se sentir de fier de progresser, jour après jour. Et se retourner de temps en temps sur sa formation musicale, pour apprécier le chemin déjà parcouru.
Tu l’as compris : je ne vais pas essayer de te bourrer le crâne d'infos dans tous les sens pour que tu en apprennes le plus possible.
Je vais t’apprendre à progresser et à te sentir heureux et fier, marche après marche.
Des conseils et des réductions pour les élèves !
Si tu me suis sur YouTube, tu as dû constater que je ne suis pas avare de conseils et de cadeaux, pour t'aider à mieux comprendre la musique et à progresser sur ton instrument.
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Parfois, je te parlerai des dernières formations que j’aurai créées ; si tu souhaites aller plus loin et approfondir un style de musique ou une technique à l'harmonica, libre à toi de suivre l'une de ces formations. Bien sûr, je te conseillerai sur les formations à suivre, en fonction de tes objectifs et de ton niveau. Mais je ne te forcerai jamais la main.
Pourquoi offrir des réductions et des cadeaux aux élèves ?
Car, dans l'Ecole Internationale d'Harmonica, la motivation est toujours récompensée.
Si tu veux en savoir plus sur mon parcours...
J’ai commencé la musique à l'âge de 5 ans, sur le piano de Mamie, dont j'ai hérité. Mais mes premiers cours de musique, je les ai véritablement suivis dès l'âge de 7 ans.
5 ans de flûte à bec. Si bien qu'en CM1, quand notre maîtresse nous a appris la flûte, j'en savais déjà plus qu'elle. Je rappelle que j'avais corrigé un doigté sur la flûte. Et que la maîtresse avait dit à la classe : "Finalement, nous allons faire comme le conseille Bertrand".
A l'âge de 10 ans, je suis entré en classe de 6e, qui fut l'année où j'ai véritablement commencé les cours de piano, à la Maîtrise de la Cathédrale de Reims, une école de musique qui a été créée au XIIIème siècle.
30 minutes d'instrument chaque jour, ma mère derrière mon dos, qui me guidait et me faisait recommencer, jusqu'à que tout soit parfait (une mère qui a l'oreille absolue, ça aide).
Et une audition par an, pendant laquelle j'avais un trac fou. Mais dont je sortais fier d'avoir réussi à jouer un morceau de bravoure.
Tout 1er concert au Théâtre des Cordeliers à Reims en juin 1983, j'accompagne une violoniste, qui en était déjà à 3 ans de pratique de son instrument. 600 personnes dans la salle. J'avais tellement bien bossé ma Campagnarde - le nom de notre morceau - que même avec le trac, j'ai assuré comme un Dieu, n'ayons pas peur des mots.
Après 6 ans de classique au piano, j'ai décidé d'arrêter les cours, car j'avais beaucoup de boulot pour préparer mon baccalauréat. On ne peut pas dire que j'avais des facilités pour suivre le système scolaire : j'aimais beaucoup étudier, mais j'étais classé "inscolarisable" : mes profs ne m'ont jamais vraiment compris, parce que je pouvais faire des coups d'éclat une semaine, à rendre jaloux tous mes camarades et la semaine suivante, me retrouver dans les choux.
En fait, c'est juste que j'apprenais facilement, quand j'y prenais du plaisir, mais que rien ne rentrait, quand ça me barbait.
Bref, après avoir redoublé ma Première Scientifique - j'avais déjà repiqué ma Troisième - j'ai décroché mon Bac "Mathématiques et Sciences de la Nature".
Devine dans quelle matière j'ai eu la meilleure note...
18/20 à l'option Musique !
Quand je passais à l'oral et que les examinateurs observaient mon bulletin, ils se demandaient vraiment ce que je faisais en Scientifique... Mais je n'avais pas choisi la voie "Philosophie & Musique", pour privilégier les débouchés...
Pendant mes 2 dernières années de lycée, je me suis mis à l'harmonica, grâce à une méthode "cassette audio et livre de poche", ce qui m'a permis de prendre plein de mauvaises habitudes, que j'ai dû perdre par la suite, pour repartir sur de bonnes bases. Mais comme je connaissais déjà la musique, j'arrivais quand même à jouer de petits morceaux, qui étaient appréciés par les filles.
3 ans après le lycée, j'ai décroché un Diplôme Universitaire de Technologie en Génie Civil et Génie Climatique, un diplôme que l'on obtient normalement en 2 ans. Bah oui, tu ne crois quand même pas que j'aurais réussi à décrocher mon diplôme sans avoir redoublé ma première année d'études !
Pendant mon service militaire, je suis parti pour la Bosnie-Herzégovine, pendant la guerre. J'y ai vécu 110 jours. Sur place, je me suis acheté une petite flûte croate. J'ai appris à en jouer seul et un soir, j'ai participé à une émission... Sur Radio Ifor ! Radio Ifor, Le "Rock des Balkans"... Je ne te raconte pas le trac, de jouer en direct, sachant que le pays entier m'écoutait...
A mon retour en France, j'ai repris mon harmonica et je jouais de petits morceaux de country music et des Beatles pour les potes, à nos rares moments de pause. J'avais toujours mon petit instrument en poche.
Après mon service, j'ai intégré l'Atelier de Musique, une super école de musique à Reims, où j'ai appris mon métier de pianiste de bar. Bon, pas vraiment un métier à plein temps, car je bossais comme Technicien dans les H.L.M., à 50 bornes de l'école de musique. Je faisais 100 km 2 fois par semaine, tellement j'étais motivé par la musique.
3 ans après, je me suis installé en Région Parisienne. C'est là que j'ai pris mes premiers cours d'harmonica, à l'Ecole de Musique de Vauréal (ce qui est amusant, c'est que, des années plus tard, j'ai enseigné l'harmonica dans cette même école).
1 an après, j'ai trouvé des cours sur Paris, avec Greg Zlap, qui a joué plus tard avec Johnny Hallyday. Des cours collectifs sous forme de stages trimestriels, sanctionnés par un concert sur scène, accompagné par des musiciens professionnels.
Entre 2004 et 2006.
Les cours avec Greg et les stages, en France et en Espagne.
Plus toutes les méthodes d'harmonica qui existaient à l'époque, que j'ai toutes bossées.
C'est en constatant que je savais expliquer des notions musicales à mes potes harmonicistes, que Greg m'a aidé à me faire connaître en tant que prof d'harmonica. Un sacré coup de pouce !
Après avoir donné des cours privés et animé des stages, pendant près de 10 ans, j'ai créé ma 1re entreprise le 3 janvier 2013, pour donner des cours de musique en indépendant, puis la toute première Ecole Internationale d'Harmonica, qui a vu le jour le 6 septembre 2014, le jour de la Saint Bertrand. Promis, je ne l'ai pas fait exprès.
Et j’ai su, dès le lancement de l'école, quand 65 élèves m'ont fait confiance dès le premier mois, que c'était à cette activité que je consacrerais ma vie.
Je me suis rappelé, en en parlant à des amis, que je parlais déjà de créer une école de musique, quand j'étais au lycée. Finalement, j'ai réalisé mon rêve de jeunesse.
Mais tout n'était pas parfait : j'ai toujours été à l'écoute des élèves, pour améliorer encore et encore mes formations et progresser encore, en tant que professeur de musique.
Et je te passe les moments d'abattement, quand un autre professeur de musique, jaloux de la réussite de mon école, faisait tout ce qu'il pouvait pour tenter de me détruire. J'ai même reçu des menaces de mort : "Estime-toi heureux que je ne viennes pas t'assassiner". Pourtant, je n'ai jamais laissé tomber, car j'ai toujours cru en ma mission : aider mes élèves à se sentir heureux et fiers de jouer la musique qu'ils aiment.
Aujourd'hui, j'ai le projet de parcourir le monde, mon harmonica "bête de course" en poche et de continuer d'animer l'école d'harmonica. Pas seulement à distance : également en rencontrant les élèves dans leur environnement et de partager de bons moments ensemble. Car jouer de la musique, c'est avant tout partager.
Voilà, c’est ça, ma vie.
J’aurais pu faire autre chose de ma vie, mais c’est comme ça que je suis le plus heureux.
Toi, tu n'as pas forcément envie de devenir professionnel de la musique, juste de te faire plaisir. Et c'est déjà beaucoup.
D'ailleurs, je n'ai jamais cherché à devenir professionnel. Je le suis devenu par la force des choses, mais j'ai toujours une démarche d'amateurisme, au sens premier du terme, c'est-à-dire faire les choses par amour.
Mon métier, c’est d’aider les gens à vivre une vie plus épanouie et à sortir de la solitude, grâce à la musique.
80% des personnes que j'ai aidées n'avaient jamais fait de musique de leur vie. Certaines ne connaissaient même pas le nom des notes de musique : do-ré-mi-fa-sol-la-si, ça ne leur disait rien. Quand je les vois jouer de l'harmonica aujourd'hui - et que j'écoute ce qu'ils savent jouer - je suis heureux pour eux et je partage leur joie, leur fierté.
Aujourd'hui, c'est peut-être à ton tour.
Et peut-être que comme moi, après avoir réussi à réaliser ton rêve de jouer de la musique, tu auras envie de convaincre les autres de s'y mettre. Peut-être auras-tu envie de leur transmettre ce que tu auras appris.
C’est mon souhait et c’est ce que je t’encourage à faire.
Quel que soit ton projet musical actuel, si tu débutes ou que tu joues déjà de la musique mais que tu sens que tu as besoin de progresser, tu as ta place dans notre école.
Et je serai heureux de t’aider, pour qu’un jour, tu puisses te sentir heureux & fier de jouer la musique que tu aimes et, si tu le souhaites, transmettre à ton tour ce que tu auras appris.
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